sexta-feira, 15 de maio de 2009

Introduction au travail

Le thème du notre travaille est L’éthique, c’est est un sujet très actuel et comme ça nous allons présenter un travaille très complet et fonctionnel.

L’éthique est une discipline philosophique pratique et normative dans un milieu. Elle se donne avec le but d'indiquer les comportements des êtres humaines et ses attitudes dans un espace et avec autres personnes. L’éthique procure determiner la finalité de la vie humaine et les moyens pour l’atteindre, elle fait jugements de valeur que permitent distinguer le bien et le mal.

Pendant ce travaille nous allons développer le thème, mais aussi parle sur la bioéthique, la génétique et le clonage. Nous allons démontrer nouvelles et images sur l’éthique et ses composants.

L'éthique

Le mot «éthique» signifie science de la morale, art de diriger sa conduite. Il s'agit d'une branche de la philosophie définissant les comportements moralement acceptables. L'éthique peut fortement varier en fonction des valeurs et de la culture.

· Le principe de bienfaisance et non malfaisance;
· Le principe de respect de l’autonomie de la personne et de son droit à l’auto-détermination;
· Le principe de justice distributive (répartir les services équitablement compte tenu des ressources limitées).

Le terme «déontologie» est un domaine relacioné avec l’éthique. Il signifie théorie des devoirs, ainsi comme la morale, l’outre thème relacioné avec l’ éthique. La déontologie est l'application de l'éthique sous forme d'obligations auxquelles doivent se soumettre les membres d’ une groupe en question.

Covey et Merrill présentent un résumé des lois fondamentales de la vie qui seraient communes à toutes les civilisations:
§ Ne trichez pas.
§ Ne mentez pas.
§ Ne volez pas.
§ Traitez les gens avec respect.

Ils suggèrent encore de satisfaire les quatre classes de besoins de l’être humain (physiques, sociaux, intellectuels et spirituels) et l’épanouissement des quatre capacités qu’ils représentent (vivre, aimer, apprendre et transmettre). Ils suggèrent également le développement de cinq talents qui nous aideront à nous orienter : 1) la conscience de soi et de l’outre, 2) la conscience morale, 3) la volonté indépendante, 4) l’imagination Creative et 5) La clarification de valeurs et la sensibilisation.

Fig. 1 - Phases de l'apprentissage éthique

Cettes phases sont composées pour:

Phase 1: Sensibilisation

But: Expérimenter des situations à problème pertinentes du point de vue éthiqueIl s'agit de vraiment percevoir un problème moralement pertinent. Cette aptitude est une condition préalable à tout apprentissage de l’ éthique. Des impressions sensorielles y sont rendues possibles, arrangées et enrichies par le contexte.

Questions-clés:
Comment est-il possible de reconnaître un problème éthique?
Comment le problème éthique peut-il être rendu perceptible sur le plan des sens ou de l'émotion?

Phase 2: Conscience de soi et perception de l'autre

But: Interprétation de ses propres perceptions et de celles des autresIl s'agit ici de mettre en relation ses propres perceptions et les intentions ou perceptions de tiers et d'en interpréter les conséquences. Cette façon de changer de perspective permet une perception différenciée des problèmes moraux importants.

Phase 3: Clarification des valeurs

But: Compréhension des valeurs dans le contexte socioculturelIl s'agit de clarifier ses propres valeurs et conceptions de la personne et celles des autres et de les comprendre dans leur contexte socioculturel. Dans une société pluraliste, il n'est plus possible de se référer à un répertoire de valeurs uniformisé.

Questions-clés:
Quelles sont les valeurs importantes pour moi?
Sur quelles valeurs ma vie est-elle construite?
Quelles valeurs trouve-t-on dans la société?

Phase 4: Réflexion et jugement

But: Comparaison des valeurs et appréciation des conflits de valeur.Il s'agit de comparer ses propres valeurs à celles des autres et d'y réfléchir. La réflexion aboutit à un jugement fondé.

Phase 5: Action concrète

But: Attitude responsableIl s'agit de la transposition concrète d'attitudes éthiques dans la pratique. Les attitudes éthiques doivent faire leur preuve dans la pratique, également en dehors de l'école. La question de la pérennité des processus d'apprentissage éthique est ainsi posée.

Histoire de l’éthique

L’éthique est loin d’être toujours restée identique à elle-même. Au contraire, elle a connu de nombreuses et importantes transformations au cours de son histoire.

L’éthique dans l’Antiquité était dominée par le concept de « vertu » aussi bien chez Socrate que chez Platon, Aristote, les Stoïciens et Épicure. Ainsi, l’homme bon est celui qui réalise bien sa fonction, son télos. Il s’agit donc de réaliser pleinement la nature et ce qui constitue la nature humaine, afin d’atteindre le bonheur.

C’est Descartes qui le premier prit nettement ses distances avec l’éthique antique, qu’il jugeait trop « spéculative ». S’appuyant sur une nouvelle métaphysique, il fonde une morale dans un sens beaucoup plus individuel. Le développement de l´éthique moderne se poursuit avec Kant et l’éthique déontique : une réflexion critique sur les conditions de possibilité de la morale mettant l’accent sur le devoir.

Notre époque vit un développement de l´éthique appliquée en rapport avec des préoccupations environnementales et sociales. Dans les activités professionnelles et la gouvernance, la déontologie établie des codes de comportements.

Les différents domaines liés à l’éthique

L’éthique est d’abord inséparable de l'histoire et de la philosophie, à tel point qu’il est encore courant de la confondre avec la philosophie morale et la religion. En effet, il est parfois considéré que l’éthique est une des branches principales de la philosophie, et plus particulièrement de la philosophie morale. L'éthique, dans ses applications contemporaine est maintenant indissociable de la science.


L’éthique est en outre intimement liée à la méta-éthique, même si c’est surtout dans le débat contemporain que l’on fait la distinction aussi nettement. La méta-éthique en effet a pour objet d’analyser la nature des énoncés, des normes et des procédés de l’éthique. Elle constitue la discipline qui permet à l’éthique un retour réflexif sur elle-même.


Un autre grand domaine inséparable est la politique ou plus précisément la philosophie politique. Il est traditionnel en philosophie de considérer la gouvernance de la cité comme un cadre naturel et comme un prolongement des commandements éthiques. À une échelle plus vaste, les domaines de l'environnement contribuent au développement de l'éthique sur des bases réelles.
Par ailleurs, dans une moindre mesure, il est traditionnel de lier éthique et philosophie de l'action et ce depuis Aristote, dans la mesure où la théorie de l’action s’intéresse à certains problèmes fondamentaux pour l’éthique comme le jugement de la responsabilité de l’agent, de l’intentionnalité d’une action ou de la définition de ce qu’on appelle un agent.

L’éthique s’applique aussi à la santé : des sujets divers comme la biologie appliquée à la médecine, le végétarisme, la vaccination, les soins, le génie génétique, le décryptage du génome humain, la sécurité alimentaire, l’euthanasie, l’avortement, la psychologie culturelle, la santé reproductive, le traitement des troubles mentaux et du handicap, la chirurgie, le brevetage des découvertes médicales ou pharmaceutiques, ou encore la gestion du risque épidémique (ex HIV/SIDA) ou la préparation individuelle et collective à une éventuelle pandémie de grippe aviair posent de nombreuses questions d’éthique.
Ces sites sont totalement relacionés avec les domaines liés à l'éthique:
Médecine:
Euthanasie:

Bioéthique

La bioéthique est une partie de l'éthique qui est apparue, en tant que « champ » ou « discipline » nouvelle, dans le courant des années 1960 et des interrogations au sujet du développement de la biomédecine et des technosciences. Si les interrogations éthiques concernant la médecine ne sont pas neuves, la bioéthique se distingue de la déontologie médicale classique, en ce que celle-ci constitue davantage un code éthique fondé par les médecins pour les médecins. La bioéthique, au contraire, fait intervenir une pluralité d'acteurs et de disciplines (outre les médecins, biologistes et généticiens, les philosophes, juristes, sociologues théologiens, etc.).


Biotechnologies appliquées à l'homme:


La bioéthique est devenue un sujet d'actualité, suite aux manipulations génétiques effectuées sur les plantes alimentaires, au clonage et à l'utilisation d'embryons humains. Historiquement, elle est apparue au moment où le pouvoir fourni par la médecine est devenu plus important (maîtrise de la fécondité par les femmes grâce à la pilule contraceptive, apparition des premiers services de soins intensifs avec la possibilité, inconnue jusqu'alors, de l'acharnement thérapeutique et la difficulté inédite qu'il y avait à prendre la décision d'arrêter un traitement devenu futile). De même, l'évolution de l'attitude à l'égard de la science faisait qu'elle ne bénéficiait plus d'une aura systématiquement positive (Bombe atomique, expériences des médecins nazis). Enfin, Harry Beecher, dans un article qui fait date dans l'histoire de la bioéthique, avait dénoncé des expériences médicales moralement inacceptables.


Génétique

La génétique est un domeine de l'éthique que provoque divergences culturelles et entre les opinions de les personnes,
La génétique est la science qui étudie les fonctions chimiques propres à une espèce particulière de molécules appelée gène. Une de ses branches, la génétique formelle ou mendélienne, s'intéresse à la transmission des caractères héréditaires entre des géniteurs et leur descendance. Ce terme regroupe un nombre important de disciplines, la plupart associées à la biologie.


Différents champs de recherche:



  • la génétique du développement;

  • la génétique médicale;

  • la génétique quantitative;

  • la génétique de l'évolution;

  • la génétique des populations.


Clonage

Le clonage est un domaine que est relacioné avec l'éthique et ses composants.


Le clonage désigne principalement deux processus. C'est d'une part la multiplication naturelle ou artificielle à l'identique d'un être vivant c'est-à-dire avec conservation exacte du même génome pour tous les descendants (les clones). C'est donc un synonyme de certaines formes de multiplication asexuée telles que le bouturage. C'est aussi la multiplication provoquée d'un fragment d'ADN par l'intermédiaire d'un micro-organisme.


Aspects éthiques:

Le Groupe européen d'éthique a conclu dans son avis : « Étant donné le niveau actuel de maladies et de problèmes de santé des mères porteuses et des animaux clonés, le groupe doute que le clonage d'animaux à des fins alimentaires soit justifié d'un point de vue éthique. La question de savoir si cela s'applique également à la progéniture demande une recherche scientifique plus poussée. À l'heure actuelle, le GEE ne voit pas d'arguments convaincants pouvant justifier la production d'aliments à partir d'animaux clonés et de leur progéniture ». Ce groupe a aussi listé des mesures à prendre en cas d'introduction d'aliments issus d'animaux clonés dans l'UE.

Les promoteurs du clonage d'animaux d'élevage estiment qu'il répond à des enjeux de recherche agronomique (accélérer la sélection animale, sauver des races en voie de disparition) et scientifique (mieux comprendre les mécanismes de la régulation épigénétique des premières phases du développement embryonnaire).

La sécurité des aliments issus d'animaux clonés reste discutée, malgré la publication d'un avis favorable de la Food and Drug Administration (organisme fédéral américain chargé de contrôler la qualité des produits alimentaires mis en vente sur le marché américain) estimant que « la viande et le lait issus de bovins, de porcs et de chèvres clonés, ainsi que de la progéniture de clones d'espèces traditionnellement consommées sous forme d'aliments, ne présentent pas plus de dangers que ceux issus d'animaux élevés selon les méthodes classiques […] L'agence n'exige pas l'étiquetage, ni aucune autre mesure supplémentaire, pour les aliments issus de clones de bovins, porcs ou chèvres clonés, ou de leur progéniture, car les aliments issus de ces sources ne diffèrent aucunement de ceux issus de bêtes élevées selon des méthodes classiques […] Étant donné que les clones seraient utilisés pour l'élevage, leur introduction dans la chaîne alimentaire ne se ferait pas en nombres importants. Au contraire, leur progéniture issue de la reproduction sexuelle serait utilisée pour la production de viande et de lait destinés à la commercialisation. À l'heure actuelle, l'agence continue de recommander que les aliments issus d'espèces clonées autres que les bovins, porcs et chèvres (ex. les ovins) ne soient pas introduits dans la chaîne alimentaire ».


Avantages : Le clonage, in vitro notamment permet – à faibles coûts – la production, délocalisée de grandes quantités d'individus. Il permet de produire des plantes menacées dans la nature, mais recherchée par les collectionneurs ou amateurs.


Inconvénients : L'utilisation croissante de clones dans l'agriculture et la sylviculture est source d'une importante perte de biodiversité, et par là de fragilisation d'espèces qui sont des ressources agricoles et pour l'élevage. Les plans issus de clones ou de greffe sont souvent à terme plus fragiles et sensibles aux épidémies de pathogènes, c'est un fait déjà noté il y a presque 200 ans, par un fonctionnaire français François Joseph Grille, qui sans employer le vocabulaire des écologues modernes, protestait déjà contre l'appauvrissement génétique des populations d'ormes trop volontiers clonés et/ou greffé au détriment de la richesse adaptative que permet le semis.



Nouvelle - L'éthique est une compétence professionnelle

Alors que la morale définit des principes ou des lois générales, l'éthique est une disposition individuelle à agir selon les vertus, afin de rechercher la bonne décision dans une situation donnée. La morale n'intègre pas les contraintes de la situation. L'éthique au contraire n'a de sens que dans une situation. La morale ignore la nuance, elle est binaire. L'éthique admet la discussion, l'argumentation, les paradoxes.

L'approche de l'éthique professionnelle doit reposer à la fois sur la dimension morale (il ne peut s'agir d'ignorer les principes) et sur la dimension éthique (quelle décision est la meilleure dans le cas présent ?). Lorsque cette réflexion devient collective et fait l'objet d'une formalisation, la démarche devient déontologique, dans un sens large. Si ces règles ont une valeur pour l'ensemble d'une profession et font l'objet d'une reconnaissance officielle, il s'agit d'une déontologie au sens restreint.



Quels sont les facteurs de développement du management éthique ?Le discours général des entreprises ou des spécialistes des sciences de gestion insiste de plus en plus sur la dimension éthique de l'entreprise. Mais celle-ci est faiblement prise en compte dans les pratiques managériales, en l'absence de modèle intégrant à la fois les concepts d'éthique, de morale et de déontologie, et la perception des acteurs de la profession.

Par quelle démarche aborder l'éthique professionnelle ?L'éthique peut être abordée par les valeurs ou par les vertus. L'approche par les vertus permet de comprendre la dimension éthique des décisions de façon cohérente et structurée. Ces vertus que l'on peut qualifier de cardinales sont les suivantes :

L'approche par les vertus présente des avantages en termes de méthode. Les vertus étant des dispositions à agir, elles permettent une déclinaison de l'éthique en comportements de référence, dans un métier donné. Il est ainsi possible de construire un référentiel de la dimension éthique du métier. C'est ce qui a par exemple été réalisé pour le métier d'acheteur, au sein de la CDAF (Compagnie des Acheteurs de France).


Par Jean-Jacques Nillès

Nouvelle - Nos valeurs éthiques au risque de la pandémie

Selon des spécialistes, la menace d’une pandémie de grippe à l’échelle mondiale met directement en cause les soubassements de la démocratie.

Comment répondre à la menace d’une épidémie grippale hautement meurtrière, sans oublier en route les valeurs de justice, d’équité et de solidarité avec les plus faibles ? Depuis la crise de la grippe aviaire et le premier plan gouvernemental en 2004, des spécialistes de l’éthique réfléchissent aux enjeux moraux d’une pandémie et pointent les risques qu’une éventuelle crise sanitaire peut faire peser sur les valeurs de notre société. Un chapitre exclusivement consacré à ces questions a d’ailleurs été ajouté au plan initial du gouvernement.


La première crainte concerne les éventuelles réactions de panique et la ruée des bien-portants vers les pharmacies pour s’approvisionner en médicaments, au détriment des personnes malades ou isolées. S’il faut choisir entre les malades, en cas de pénurie de médicaments, ou de difficultés d’approvisionnement en vaccins, quels critères retenir ? Le comité d’éthique rejette l’idée d’un tirage au sort « égalitaire mais pas équitable », estime Pierre Le Coz, philosophe et rapporteur de l’avis. Il propose de « définir des priorités » en s’inspirant du système de répartition des dons d’organes, qui gère la pénurie depuis des années. « Des critères éthiques qui fixent un cadre de référence (âge, risques de compli­cations, par exemple) sont nécessaires pour établir une relation de confiance », estime-t-il.


Autre question « essentielle » pour Pierre Lecoz : jusqu’où renoncer à certaines libertés individuelles pour lutter contre un fléau sanitaire ? En cas de risque majeur de contagion, le gouvernement prévoit une limitation des déplacements. Pour autant, l’état d’urgence sanitaire ne saurait justifier, « sauf circonstance d’une exceptionnelle gravité, le sacrifice du respect de la vie privée des personnes et de la confidentialité des informations afférentes à leur santé », estime le comité d’éthique.Enfin, l’accès aux traitements dans les pays pauvres constitue une question éthique majeure. Emmanuel Hirsch déplore ainsi « l’absence de signal fort de l’Organisation ­mondiale de la santé sur ce sujet », alors que tous les pays riches, et en premier la France, ont stocké des médicaments antiviraux en prévision de l’épidémie. Le comité d’éthique demande de son côté le « partage avec les pays pauvres », au nom du « devoir d’assistance » mais aussi pour « contribuer à réduire la sévérité de l’épidémie dans les pays donateurs », comme l’ont montré plusieurs études. « Aider les autres, c’est s’aider soi-même.


La protection ne peut plus se concevoir à l’intérieur de nos frontières », affirme Jean-Claude Ameisen, président du comité d’éthique de l’Inserm, convaincu que « la lutte contre une éventuelle pandémie peut être un levier contre l’exclusion ». Pour Claude Évin, président de la Fédération hospitalière de France, « les pandémies révèlent l’échelle des valeurs d’une société, par sa capacité à prendre en charge tous ses membres et à porter un projet collectif qui ne se résume pas à la somme désordonnée des actions individuelles ».



par Claire Legros
Alinhar ao centro

Nouvelle - Éthique: le monde à l’envers

En matière d'éthique, il n'y a qu'un seul principe qui s'applique: on ne modifie pas les règles pour les adapter aux gens; les gens doivent plutôt adapter leurs comportements aux règles établies. Alors, quelqu'un peut-il expliquer quelle mouche a pu piquer le premier ministre Jean Charest — surtout à ce moment-ci — pour modifier, pour la troisième fois en cinq ans, le code d'éthique qui s'applique à ses ministres?
C'est exactement le pire message à envoyer à ce moment-ci.
Cette fois, on permettra donc à un ministre de posséder une entreprise qui fait affaire avec le gouvernement et même avec son propre ministère. Autrefois, le ministre en question avait 60 jours pour soit vendre ses actions, soit les placer en fiducie.
Des principes adaptables?
« Il y a des cas particuliers qui requièrent qu'on regarde le cas particulier et qu'on puisse adapter les règles aux cas particuliers sans les abaisser », tentait d'expliquer, plutôt mal que bien d'ailleurs, le leader parlementaire du gouvernement, Jacques Dupuis. « La directive, elle est ajustée toutes les fois qu'un ministre remplit une déclaration d'intérêt, pour tenir compte des situations particulières des ministres », déclarait au Devoir, l'attaché de presse du premier ministre. Bref, les principes sont adaptables à chaque situation particulière.
Ce qui signifie, au fond, qu'on n'a pas de principes fixes en matière d'éthique, qu'on n'a qu'à modifier le code au gré des circonstances. D'autant que tout le monde s'attend à ce qu'une personne qui entre en politique accepte les règles qui s'appliquent à ses nouvelles fonctions; ce ne sont pas les règles qui doivent changer pour plaire aux nouveaux élus. Remarquez qu'il se pourrait fort bien qu'on fasse de tels changements pour une peccadille. On avait déjà changé le code d'éthique pour permettre à la conjointe d'un ministre qui avait une petite entreprise de traiteur de continuer de faire affaire avec le gouvernement.
Au gouvernement, on s'est très certainement dit que personne n'allait se déchirer la chemise pour si peu. Le problème, c'est qu'on a ici un exemple flagrant de ce qui arrive quand on n'a pas des principes clairs en matière d'éthique. Puisqu'on avait déjà fait un petit accroc, on s'est dit qu'on pouvait en faire un autre. Et tous les ministres, ayant bien appris leur leçon, sont venus dire devant les caméras que le fait de changer le code d'éthique n'avait aucune importance puisque tout cela se faisait « en pleine transparence ».
29 avril 2009

Nouvelle - Bilum® // Unique - Éthique - Écologique



Créatrice de la marque Bilum®, Hélène de La Moureyre réalise de superbes sacs uniques, éthiques et écologiques.Son concept:- Hélène récupère de grandes bâches publibitaires telles celles sur les façades d'immeubles en travaux. - Elle sélectionne les éléments graphiques intéressants et imagine des sacs uniques.


- Les bâches sont ensuite lavées par une entreprise de réinsertion sociale et les sacs cousus par des personnes handicapées dans des centres d’aide par le travail (CAT).

- Les sangles ou poignées des sacs sont des ceintures de sécurité de voitures, récupérées dans des casses.
Encouragez Hélène à poursuivre sa belle démarche en offrant à vos proches voyageurs un bilum unique!Toutes les infos sont disponibles sur le site de Bilum®.


Dec./2008

Maintenant fait-vous votre réflexion personnel.

Quand nous avons un probléme nous avons que prendre une décision et quand
l’analysons nous regarde avec l’aide de l’éthique et de notre valeurs. Nous pouvons choisir le bien et le mal.
Quel est le côte que vous pretende choisir ?

La notre opinion sur l’éthique

Rita : Je pense que l’éthique, ainsi comme la morale, est un ensamble de régles que permitent à la société une qualité de vie avec harmonie et respect devant tout les outres que vivrent avec nous. L’ éthique nous permite prendre positons que forme notres idéals et objectifs de vie.
Cátia : À mon avis l’éthique nous aidons a obtenir connaissance sur plusieurs sujets actuels et que informent les individus. Elle est totalement indispensable au bon fonctionnement de la société.
Catarina : À mon avis, je pense que l’éthique est un domaine extrêmement essenciel dans le notre quotidienne, parce qu’elle regule les notres habitudes e manières d’être avec les autres, en groupe, en communauté, etc.
Avec notres opinions nous finissons le travaille sur l’éthique et démontre la vision de chaque personne de ce groupe.
Travaille realisé pour :

Ana Rita Moreira Vieira nº 4 11º L.H.
Catarina Almeida Henriques nº 9 11 L.H.
Cátia Vieira Magano nº 10 11º L.H.